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Poids du paquet: 50 g.
Prix : 25 $ USD
Composition :
Medicago saltiva dried/plante
Amni visnaga/ fruits
Equisetum arvense /tiges
Taraxacum officinalis/racines
Zea mays
TEA 91
Infusion à base de plantes naturelles médicinales sans effets secondaires
Utilisations :
Maladie de la goutte
Hyper uricémie (élévation du taux d’acide urique dans le sang)
Douleurs articulaires dues à l’accumulation des sels minéraux ou oligoéléments
Effets améliorant :
L’effet du Tea 91 est plus bénéfique, si on prend , en plus , dans le cas de :
Infection rénale ou urinaire, l’infusion 36
Colique néphrétique, l’infusion 53
Lithiase urinaire, l’infusion 2
Douleurs musculo-squelettiques, l’infusion 11
Contre indications :
Enfants de moins de 12 ans
Femmes enceintes
Gens qui souffrent de pathologie cardiaque .
La goutte :
Maladie inflammatoire chronique liée au métabolisme de l’acide urique dont la manifestation la plus caractéristique est une mono arthrite aigue du gros orteil. L’acide urique précipite sous forme de cristaux au niveau des articulations les plus froides soumises à des traumatismes microscopiques (gros orteil). L’arthrite peut toucher pied, genou, main, coude , poignet . Son évolution, sans traitement, se fait vers le dépôt d’acide urique dans les articulations (arthrite goutteuse), la peau (tophi) et les reins (néphropathie pratique) , conduisant à une insuffisance rénale terminale potentiellement fatale.
En effet l’acide urique se présente sous forme de sel soluble ( l’urate) mono sodique , quand son taux s’élève 7mg/dl , l’urate devient insoluble, les cristaux se déposent alors dans les articulations ( crise de goutte) et les reins (calculs rénaux).
La cristallisation de l’acide urique provient de la dégradation des purines ou des nucléotides puriques (adénine et guanine) présents dans les cellules ou dans l’alimentation. La goutte peut se déclencher lorsque de nombreuses cellules sont détruites (traitement anticancéreux) ou suite à la grande consommation de viandes et de crustacés. Mais les gouttes par excès de percutions d’acide urique ne présentent qu’une minorité, la plupart du taux élevé provient d’une insuffisance rénale par défaut d’élimination rénale ou par la prise de médicaments notamment les antidiurétiques car les 2 substances aux propriétés chimiques semblables doivent être éliminées par le rein et l’acide urique non éliminé s’accumule dans le sang.
Causes :
-Défaut de l’élimination de l’acide urique du sang par les reins surtout chez les malades qui consomment les diurétiques pour de longues périodes
-Surcharge pondérale
-Un excès de production d’acide urique à partir du métabolisme des protides.
-L’hérédité : un facteur familial génétique qui provoque des troubles enzymatiques au niveau du métabolisme des purines
-L’alimentation riche en produits animaux (abats, charcuteries, sardines, anchois) qui entraine un apport important en purines.
– Les gouttes secondaires dont l’acide urique provient d’un excès de destruction des nucléoprotéides cellulaires par :
Intoxication par le plomb
Hémopathie (maladie de vaguez, leucémies, myélome, traitements cytolytiques)
Certains traitements( par corticoïdes, diurétiques, thiazidiques ) . Insuffisance rénale, glomérulonéphrites aigues
Chez l’enfant , maladie de LESCH et NYHAN, glycogénose de type 1.
Le stress qui épuise les substances anti oxydantes de l’organisme, les radicaux libres attaquent d’avantage les cellules et précipitent la mort cellulaire entrainant ainsi la formation d’acide urique .
Les personnes à risque ce sont les individus qui prennent les diurétiques, qui ont des antécédents familiaux ou qui sont atteints des maladies comme les
Calculs rénaux, insuffisance rénale, hypertension, syndrome métabolique, diabète, obésité, hypercholestérolémie, athérosclérose.
Symptômes :
Le patient se plaint de signes précurseurs, fatigue, état pneumo-grippal, céphalées. Lorsque la crise apparait, elle se manifeste par des douleurs au niveau des articulations, des membres inférieurs, l’un des gros orteils (56 à 78 % des cas). la fluxion goutteuse se présente par une vive douleur soudaine et par le gonflement d’une articulation, la base de l’orteil, parfois les chevilles, les talons, les genoux et plus tardivement les articulations des doigts et des poignets puis une impotente fonctionnelle absolue. L’articulation est enflammée (rouge, chaude, augmentée de volume). Une fièvre légère à 38° c, des sueurs et une agitation .
Les crises sont espacées au début (crise nocturne), les articulations commencent à être atteintes, des tophi apparaissent (nodules pierreux durs ou mous, indolents sous cutanés) siégeant dans les articulations, sur les os, dans les bourses séreuses, les tendons, les gaines synoviales, l’hélix de l’oreille, la face postérieure des coudes, les pieds (tendons d’Achilles )et les mains.
Une douleur qui se déclenche la nuit et se résout spontanément en une à deux semaines. Avec le temps les cristaux déposés au niveau des articulations peuvent provoquer une destruction du cartilage et des os avec des douleurs à chaque mouvement surtout au niveau des reins où ils sont responsables d’une évolution vers l’insuffisance rénale. L’acide urique peut précipiter dans l’urine sous forme de calculs (lithiase urinaire) qui provoquent des spasmes douloureux (colique néphrétique) . Dans 10 à 30 % les reins sont touchés, les dépôts d’acide urique peuvent conduire à une néphropathie interstitielle évoluant vers l’insuffisance rénale et l’hypertension artérielle.
Les articulations finissent par se déformer.
La maladie augmente en fréquence avec l’âge, plus fréquente chez les personnes obèses (syndrome métabolique) ou les consommateurs d’alcool de viande rouge, produits de la mer ou de fructose.
Les femmes sont relativement protégées avant la ménopause, du fait de l’action uricosurique de l’œstrogène (baisse de l’acide urique).
Conseils :
L’alimentation a un réel impact sur cette maladie rhumatismale et les règles hygièno-diurétiques doivent être respectées en limitant la consommation des aliments ou boissons riches en purines et en favorisant celle des eaux alcalinisantes, des boissons non sucrées et des aliments pauvres en purines avec une supplémentation en vitamine C.
Eviter le stress qui épuise les substances anti oxydantes de l’organisme,
Les traitements réduisent la fréquence des crises mais n’empêchent pas la formation des cristaux d’acide urique dans les articulations. La maladie augmente en fréquence avec l’âge, plus fréquente chez les personnes obèses (syndrome métabolique) ou les consommateurs d’alcool de viande rouge, produits de la mer ou de fructose.
Les femmes sont relativement protégées avant la ménopause, du fait de l’action uricosurique de l’œstrogène (baisse de l’acide urique).
Traitement :
Le traitement chimique englobe les anti-inflammatoires non stéroïdiens oraux , la colchicine, qui peut aider mais avec des effets secondaires insupportables . Les anti inflammatoires stéroïdiens ou corticostéroïdes sont prescrits si les autres traitement sont inefficaces.
Il y a des médicaments qui augmentent l’excrétion de l’acide urique ou diminuent sa production mais ils sont contre indiqués chez les personnes souffrant d’insuffisance rénale.
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