Projets d’avenir

Depuis sa création, la vision de la société IBNALNAFIS pour l’avenir est stable et prometrice puisque l’avenir médical dans le monde entier est celui des plantes bio médicinales.

A présent, grâce au progrès connu dans le domaine médical, l’une des causes de plusieurs maladies récentes est l’utilisation non appropriée des médicaments chimiques.

La société a opté pour faire évoluer le patrimoine culturel de la médecine traditionnelle basée sur l’utilisation des plantes.

La société fait l’effort de faire connaitre l’utilité de la phytothérapie au niveau aussi bien du corps médical et pharmaceutique que du consommateur (gens traités).

La Syrie a été choisie vue sa localisation à l’est de la mer méditerranéenne, et la richesse, la diversité floristiques dont elle est dotée.

Deux locaux de 10.000 m2 chacun, ont été bâtis en zone industrielle du « Cheikh Najar » section médicale pour l’industrie moderne des plantes médicinales. Différentes catégories  sont développées, à savoir (capsules à enveloppe dure ou molle « gélule », sirop, comprimés, suppositoires, ovules, crèmes, lotions, shampooing, extraits de plantes en infusions, essences, huiles naturelles stables).

Afin de prouver l’efficacité de ces produits, le groupe des sociétés a édifié un laboratoire moderne, évolué pour les études cliniques vitales, des préparations à bases de plantes naturelles aux différents stades sont administrées (au laboratoire, expérimentation sur cobayes ‘expérience animale’,  sur les volontaires sains et malades en parallèle avec l’utilisation du placebo, afin de faire le parallèle avec les médicaments chimiques).

Les chercheurs étudient les compléments alimentaires pour en extraire les vitamines, les minéraux, les protéines et les acides aminés.

Le traitement hormonal, l’immunothérapie et le traitement oncologique à base de plantes  naturelle sont les  principaux thèmes sur lequel travaille la société.

Société IBNALNAFIS HERBS en 2015 :

Le groupe IBNALNAFIS tend à exporter ses produits vers plusieurs pays afin d’élargir l’étendue de l’utilisation des traitements naturels en 2015.