KK36 B+ -60 Capsules

KK36 B + :

Produit à base de plantes naturelles médicinales, de la 3ème génération des médicaments sans effets secondaires adjuvant dans le traitement des troubles de l’appareil urinaire et dans la prévention du dysfonctionnement rénal.

Utilisations :

– Troubles des fonctions rénales et urinaires.
– Dysfonctionnement rénal (inflammation ou insuffisance rénale modérée, maladie auto immune rénale).
– Incontinence urinaire, rétention d’eau, obstruction des voies urinaires.
– Déséquilibre de l’hémodynamique vasculaire rénale
– Déséquilibre hydrique, électrolytique ou acido-basique.
– Troubles métaboliques.
– Hypertension.
– Acidose métabolique.

APPAREIL URINAIRE :

L’appareil urinaire se compose de :  deux reins

Deux uretères qui évacuent l’urine, sortent des reins et rejoignent la vessie .  La vessie est une poche de stockage de l’urine entre deux mictions, pourvue d’un sphincter déclenché à volonté .

un urètre, canal unique qui se jette à l’extérieur, court chez la femme et  se termine dans la vulve et long chez l’homme puisqu’il traverse la prostate et la verge.

Les reins sont des organes puissants au rôle vital  pour garder le corps humain en bonne santé .Ils régulent la quantité d’eau dans nos systèmes organiques, éliminent les déchets et les toxines et produisent des hormones qui contribuent à réguler la tension artérielle, à produire les globules rouges et à maitriser le taux de calcium dans l’organisme. 120 litres de sang sont filtrés par jour avec une production de 1à 2 litres d’urine composée de déchets et de surplus de liquide.

L’appareil uro-génital est le plus vulnérable aux infections qui risquent de devenir chroniques et  qui contribuent à l’altération des fonctions rénales et urinaires. La fonction de filtration glomérulaire peut perdre 50% de son efficacité.

 Parmi les infections et maladies qui touchent l’appareil urinaire, on cite :

– La cystite, l’incontinence urinaire, l’insuffisance rénale, l’énurésie, les coliques néphrétiques, le calcul rénal, l’insuffisance surrénale, la lithiase urinaire, la polykystose rénale, le reflux urinaire vésico-urétéral (RVU) , les urines troubles ou colorées… .

Parmi les signes d’alerte, on cite :

-Les douleurs au niveau de la zone pelvienne.

-L’augmentation de la fréquence de miction.

-Les douleurs et sensation de brûlure pendant la miction.

-La difficulté à vider la vessie (dysurie).

-Besoin fréquent d’uriner (pollakiurie).

-Hématurie (sang dans l’urine).

-Odeur forte de l’urine (odeur d’ammoniac).

Si l’atteinte touche les voies urinaires hautes à savoir l’uretère, le bassinet ou le calice du rein, il y a une fièvre élevée (39-40⁰), frissons, douleurs lombaires et altération de l’état général.

Dans le cas de l’atteinte des voies urinaires inférieures (urètre, vessie), urétrite ou cystite, les brûlures sont ressenties lors de la miction, les urines peuvent être hémorragiques ou malodorantes.

L’obstruction des voies urinaires est un blocage qui inhibe le flux urinaire sur son acheminement normal, ce blocage peut provoquer des lésions rénales, la formation de calculs rénaux  ou l’hydronéphrose (rein dilaté). Une insuffisance rénale peut se développer dans le cas d’une obstruction bilatérale.

L’obstruction est plus fréquente chez les hommes à cause de l’atteinte de la prostate (l’hypertrophie bénigne de la prostate) ou d’une sténose urétrale.

Les bactéries comme Pseudomonas, Proteus, Entenococcus, P.aeruginosa) peuvent atteindre les voies urinaires par le biais du sang ou du liquide lymphatique ou par montée à travers l’urètre (cas fréquent).

Facteurs de risque :

Plusieurs facteurs de risque caractérisent les infections urinaires et les pyélonéphrites :

• Le sexe : les femmes  sont plus touchées car elles ont l’urètre plus court que les hommes, et peuvent utiliser les contraceptifs locaux.
• Présence : des calculs rénaux, d’un prolapsus pelvien génito- urinaire, d’un reflux vésico-urétral ou d’une maladie ou d’un traitement qui peuvent favoriser  les infections ( immuno- dépression, diabète, corticothérapie ).
• S’abstenir d’uriner après un rapport sexuel.
• Avoir des anomalies de l’appareil urinaire.

 Dysfonction  métabolique  :

Le stress chronique active les systèmes nerveux autonome, neuroendocrinien, immunitaire et augmente le risque des maladies cardiovasculaires.

La stimulation chronique de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien peut entrainer un déséquilibre des hormones anaboliques-cataboliques, un stockage excessif de graisse viscérale et une augmentation de la résistance à l’insuline pré diabète.

Equilibre acido-basique :

Notre organisme ingère et produit chaque jour de nombreuses substances acides ou basiques. L’équilibre acido-basique peut  être rompu et le corps produit plus de déchets acides, il va donc puiser dans ses réserves des molécules neutralisantes ou stocker les acides en excès dans le tissu conjonctif, ce qui peut induire une acidose métabolique latente, un terrain propice à l’apparition de nombreuses maladies.

Les apports en acides proviennent de l’alimentation et de l’organisme lui-même car le métabolisme produit des déchets acides. Les éléments basiques proviennent de la consommation de végétaux essentiellement.

Il y a rupture de l’équilibre acido-basique lorsque les systèmes de régulation sont débordés et que l’organisme ne parvient plus à éliminer les déchets acides. Les causes proviennent d’une consommation excessive d’aliments acidifiants, de la sédentarité et le manque d’oxygénation qui limitent l’efficacité des poumons et des reins à éliminer les déchets, les états de stress, la prise de certains médicaments et certaines maladies chroniques.

Avec le temps, l’accumulation de ces déchets peut entrainer une acidose métabolique latente, ce qui affecte le transport de l’oxygène et la nutrition des cellules. L’activité enzymatique est affaiblie, le système immunitaire est fragilisé, les risques d’ostéoporose, de troubles cardiaques et métaboliques (diabète, cholestérol, hypertension, surpoids, trouble de la thyroïde) sont augmentés.

Equilibre hydro électrolytique :

Un équilibre qui concerne les rapports entre les différents électrolytes (sodium, potassium, chlore, calcium, magnésium, phosphore …) et l’eau contenue dans l’organisme.

Des situations pathologiques ou traitements peuvent perturber cet équilibre (insuffisance rénale, pulmonaire, cardiaque …).

L’homéostasie des liquides corporels est assurée en premier lieu par les reins. Le volume liquidien du corps et la concentration des électrolytes sont maintenus dans des limites très étroites malgré les variations des apports alimentaires, l’activité métabolique et le stress environnemental.

L’eau représente 60 % du poids corporel chez l’homme et 50 %chez la femme avec 2/3 de l’eau corporelle dans le milieu intracellulaire et 1/3 extra cellulaire (avec 25 % dans le compartiment intra vasculaire et 75 % dans le liquide interstitiel).

L’eau est éliminée principalement par l’urine produite par les reins (0.5 à plusieurs litres), par évaporation cutanée et par les poumons lors de la respiration et les selles. Une activité physique intense, une grande chaleur ou une température corporelle peuvent augmenter la quantité d’eau perdue par évaporation (sueurs ………).

KK36 B+ :

– Permet d’atteindre l’équilibre métabolique.
– Equilibre la fonction du système urinaire.
– Régule la balance hydrique et maintient l’équilibre acido-basique de l’organisme.
– Améliore la fonction rénale pour l’équilibre physiologique du corps humain.
– Prévient la prédisposition aux infections urinaires et les risques de récidive
– Stimule, sans altérer l’équilibre immunitaire, la destruction des anticorps qui attaquent les glomérules.
– Améliore la santé rénale.
– Permet l’élimination des calculs rénaux et urétéraux.
– Améliore la diurèse et module le ph des urines.
– Active la régénération des voies urinaires.
– Prévient la formation des calculs rénaux et urétéraux et la fibrose urétérale.
– Contribue dans le traitement thérapeutique de la prostatite et des troubles utérins.